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La concertation nationale pour la refondation de la République de Madagascar sera officiellement lancée ce mercredi 10 décembre. Lors d’une émission télévisée diffusée dimanche sur la chaîne nationale, la ministre d’État auprès de la présidence de la République, chargée de la Refondation, Hanitra Razafimanantsoa, a déclaré que le gouvernement et le FFKM qui organisent conjointement cette concertation sont à pied d’œuvre.
Mais à entendre Hanitra Razafimanantsoa, rien de vraiment concret n’est encore arrêté pour la réalisation de cette concertation nationale. Le chronogramme demeure flou : en dehors du lancement officiel, elle s’est contentée d’indiquer que la concertation se déroulera durant six mois et impliquera tous acteurs de la société malgache.
Il y aura des consultations au niveau des fokontany, a fait savoir Hanitra Razafimanantsoa. « Ce ne sera pas possible de le faire au niveau de tous les 20 000 fokontany de Madagascar », a-t-elle toutefois souligné. La démarche se fera à partir d’échantillons de fokontany, dont les critères de sélection n’ont pas été précisées.
La ministre a assuré que les idées recueillies dans les fokontany seront remontées au niveau des communes, des districts et des régions, puis discutées lors de la concertation nationale. Le ministère entend rassembler, écarter ou retenir les différentes propositions afin d’en faire des textes homogènes, qui serviront de base à une nouvelle Constitution à mettre en place après la transition de deux ans.
Toutes les forces vives de la Nation sont conviées à participer à cette concertation nationale, y compris les partis politiques de l’opposition ainsi que les anciens présidents et dirigeants du pays, affirme Hanitra Razafimanantsoa.
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Vos commentaires
Une concertation nationale inclusive, parallèle aux mandats et aux perquisitions de tous azimuts,...
C’est vraiment, le paradoxe à la refonda,...pour ne pas dire à la Kasongo.
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Salama djiaby et bien nous y voilà ?
par CNEWS infos
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Pourquoi poser la session hypocritement
C’est RECURENT !
Le valet francafricain de GUINEE BISAU aussi vient vient.d’etre.exfiltre par la France....
HS
Concernant cette « CONCERTATION NATIONALE »
Confier une action de l’Etat à une organisation religieuse est en soit impensable dans une logique républicaine..
C’est SE MEFIER A PRIORI de tout le système administratif préfectoral censé quadriller le territoire.
Il eut été logique que l’action fut confiée à des fonctionnaires.
MEFIANCE JUSTIFIEE OU NON....
.... Le gouvernement aurait clairement présumé que tout l’appareil d’’Etat.est corrompu....
Il est vrai aussi que les Eglises ont un réseau. très développé sur le territoire...pour orchestrer cette grande messe de concertation nationale.
Et que faute de grive on se contente de merle...
( à mon avis les orientations sont prêtes dans les tiroirs)
WAIT AND SEE.
Une députée française...oui mais laquelle ?
Un imbécile complotiste écrit n’importe quoi et JIPO s’empresse de le diffuser...a croire qu’il n’a que cela a faire de ses journées.
Payé par qui ? Les amis de Poutine ? C’est à y croire...
MAIS ON NE SAURA JAMAIS QUI EST CETTE DÉPUTÉE.
Bekily,
Je partage votre avis sur la participation des formatoions chrétiennes dans la « refondation ».
Mais il ya aussi une chose incroyable : ceux qui se présentaient comme opposants à Ravatomanga et Ntsay (mettons de côté le pantin Rajoelina) n’avaient rien préparé. C’est le vide absolu.
Il est normal, dans ce cas, que ceux qui ont un minimum d’organisation comblent le vide.
J’ai écouté une partie de l’interwiev du président : il est intelligent et maîtrise l’esquive. Je n’ai pas eu honte de l’écouter.
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Bonjour Isabelle
Avis finalement partagé ...par pragmatisme.
On fait avec ce qu"on à.
Par ailleurs le gouvernement n"a sûrement pas tord de se méfier encore de l’administration préfectorale pour guider l’action :
administration fraîchement pourrie.et corrompue à 100%.....
C’est un pari : il faut trancher.
Croisons les doigts pour des collectes sincères...
Isambilo
et non Isabelle !!!!
« Il y aura des consultations au niveau des fokontany. »
– Cette décision va dans le bon sens : ce sont les fokonolona qui créent la richesse du pays, par leur travail quotidien et leur engagement local. Les élus et les responsables administratifs ont un rôle important, mais leur mission principale est de soutenir ces communautés, en fournissant des services, des documents et un accompagnement adapté.
– Dire que « ce ne sera pas possible dans les 20 ?000 fokontany de Madagascar » soulève une vraie question.
Si l’on considère que c’est impossible, alors comment espérer responsabiliser, mobiliser ou transformer l’état d’esprit des membres du fokonolona qui, depuis longtemps, n’ont pas été suffisamment écoutés, accompagnés ou valorisés ?
Autrement dit : si l’on veut un changement durable, il faut commencer par reconnaître la place centrale des communautés locales et leur donner les moyens d’agir.
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Cette dame n’inspire ni confiance ni sympathie...
Après tout ce qu’elle a fait :
* le mouvement des 73 députés ayant abouti à la nomination de Ntsay Christian à la primature en 2018 ...
* l’unanimité y compris l’opposition lors de l’élection de la présidente de l’Assemblée Nationale en 2019...
* ses actions au sein de l’Assemblée après la fuite du français pilleur et ayant amené le rétropédalage de Mike Brand marque déposée refondation...
* son statut de politicienne et élue pour diriger au sein du gouvernement la prétendue concertation nationale...
* c’était elle qui avait tout préparée au sein de l’assemblée pour la nomination de ce PM franc-maçon et citoyen français...
Non madame, vous êtes déjà brûlée...
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Oui, virage plutôt OPPORTUNISTE......
Depuis 1960, la constitution malagasy a largement calqué le modèle français. Or, ce modèle repose sur une administration lourde, une centralisation extrême du pouvoir et une opacité financière qui découragent l’initiative citoyenne et étouffent les dynamiques locales.
– Aujourd’hui, l’enjeu est clair : la future constitution malagasy issue de la refondation doit enfin rompre avec ces héritages importés et puiser dans les valeurs, les pratiques et les forces propres aux communautés malgaches. C’est à cette condition qu’elle pourra réellement servir le pays et redonner du pouvoir aux citoyens.
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1) plus de PRM élu au suffrage universel direct..créant un CESARISME,
avec pouvoirs personnels exorbitants,
QUI TOURNE RAPIDEMENT EN DICTATURE.
2).une DECENTRALISATION POLITIQUE CONSTITUTIONNELLE
ET NON SEULEMENT ADMINISTRATIVE ( qui n’est qu’une déconcentration du pouvoir central)
EX REGIONALISME de type allemand ou.espagnol, avec PARLEMENT REGIONNAL AUTONOME.( ELU).
Les régions peuvent contracter des ACCORDS ECONOMIQUES,directement,avec des ETATS ÉTRANGERS
.
Le chef d’état sera adoubé par consensus des régions.
Pour « rajeunir » la démocratie locale malagasy face aux problèmes d’opacité, d’instrumentalisation et de centralisation. Voici quelques suggestions ancrées dans les valeurs malgaches de fihavanana, de fokonolona et du hasina.
1/ « Fokontany iaraha mitantana » (Gouvernance partagée).
Restaurer la souveraineté populaire au niveau du fokontany par des assemblées villageoises mensuelles, des délégués rotatifs à mandat impératif et des référendums régionaux obligatoires.
– Afin d’eviter le « présidentialisme local ».
2/ « Fitantanambola mazava » (Gestion financière transparente).
Garantir une transparence financière absolue via un budget unique par niveau, un cahier public de consultation et des audits citoyens par tirage au sort.
– Afin de supprimer l’opacité, source de complexité et de corruption.
3/« Fanampahan-kevitra madio » (Décision Saine)
élus séparément et révocables, avec un droit d’initiative populaire ascendante (requérant 5% des signatures par exemple).
Instituer un exécutif collégial de cinq membres
– Afin de casser la concentration du pouvoir.
Ces « Toko telo mahamasa-nahandro » transforment le fokontany en une cellule de démocratie vivante. Enracinés dans « fihavanana, tena izy » , ils célèbrent la sagesse collective malgache tout en évitant les pièges du centralisme et de l’opacité.
De toute évidence, au régime précédent se voit lui succéder une transition qui patauge, tergiverse, dans une impréparation qui pose question sur ses capacités, réelles, à orienter le pays vers un meilleur avenir.
Le temps presse et les militaires, au pouvoir, se hâtent lentement dans un marasme, quotidien, où les usagers ne voient rien venir, sinon, à constater que leurs conditions de vie continuent de se dégrader..
Ceux qui imaginaient qu’il suffisait de changer de président, pour inverser la spirale, infernale, se sont fourvoyés, tandis que les militaires, eux, avaient assuré que le changement succéderait à la chienlit, passée !.
Mais, aujourd’hui, le tout azimut enferme la transition dans ses propres contradictions où le tout, tout de suite, n’est plus pour demain !..
L’impréparation et l’approximation sont de piètres conseillères, et les colonels, devant le fait accompli, donnent l’impression de ne plus savoir avec quels partenaires, fiables, ils pourraient s’appuyer pour résoudre la cadrature du cercle..
Trop éloignés des réalités du quotidien, les militaires sont soumis à des pressions du marché qui imposent son tempo, d’autant, plus, lorsque la trésorerie fait défaut..
Les imprécisions relatives au sort du fuyard pour qu’il soit jugé, désormais, à l’extérieur, dénotent d’une position, fluctuante et surtout d’une absence de réflexion, cohérente, en amont, de ses déclarations à la presse…
Vague et flou dans l’avenir géopolitique de la transition et du pays, la politique, des petits pas et du frein à main, offrent le sentiment que le coup par coup, faute de mieux, deviendrait le leitmotiv des militaires immergés dans une société, civile, qu’ils feraient mine de découvrir, sous sa véritable identité !..
Comme cet ami, italien, aimait à le répéter : « qui veut faire le métier d’autrui, fait le gâchis dans le panier ! »
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HS
GRAND LERCI AU GOUVERNEMENT
DE RENDRE JUSTICE AU FOKONOLONA DE SAKATIA.
qui échappe à la main- mise mafieuse foza de construction d’hôtel de luxe pour le fils Rainilainga !
Avec même projet de souiller tous les lieux de sépultures ancestrales. !
Corrigé
GRAND MERCI
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