FINANCIER & COLLECTEUR : ESPERONS QUE MACRON NE PARTIRA PAS DE MADA’ LA POCHE PLEINE
On croit ne pas être seul à ne pas comprendre cette lettre non-signée par une ‘’professeure de français’’ (profession inutile au développement d’un pays, disons-le directement sans tarder).
Avec la venue du président d’un pays subalterne (France/USA) visitant un président d’un autre pays subalterne (Madagascar/France), les deux populations subalternes Françaises et Malgaches font du folklore, chacune selon sa culture. Mais cette fois-ci le folklore français semble hausser le ton tandis le folklore Malgache se discret. La Professeure de Français inconnue nous fait preuve d’un pure ‘’produit fabriqué et formaté’’par le système français(un des plus corrompus) : elle fait allusion à ‘’un prêt octroyé par la France’’ pour le téléphérique dans la capitale Antananarivo... un projet que la France,ses fonctionnaires d’Etat et les entreprises se piétinent pour avoir le marché au Madagascar. Ce du plein rire çà. Ingrate, elle aussi falsifie le narratif, veux peindre sa France comme une ‘’pourvoyeuse des fonds pour le développement en Afrique’’ et au Madagascar en particulier : elle oubli que la France n’est pas compétitive dans le monde mais en Afrique : le plus grand marché importateur du monde, sur lequel l’Hexagone déverse ses produits et services.

Si La Professeure de Français savait, la France pourrait : nous sommes le peuple et nous venons du peuple, le commun des Gasy n’achète pas français, ne veut pas de la France et souhaite plutôt autres acteurs majeurs -lesquels nous taisons les noms pour ne pas vexer l’Hexagone davantage.
Espérons néamoins que Macron ne partira pas de Madagascar le sacoche plein des billets de banque : l’Afrique à la sale manière de financer les politics français, et la France à la sale manière de collecter l’argent en Afrique. Seuls les ‘’endormis’’ croiront à la petite démonstration de La Professeure de Français, laquelle certainement peine de joindre les deux bouts du mois actuellement mais se fait une professeure donneuse des leçons aux Gasy : acceptons car le ridicule ne tue pas.