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- Affaire des Boeing 777 : les premiers déférés devant le PAC, 11 personnes recherchées - Madagascar est champion du monde toute catégorie des sombres et sordides (…)
rakotobe - Affaire des Boeing 777 : les premiers déférés devant le PAC, 11 personnes recherchées - N’excluons pas la PRESOMPTION MIXTE !
bekily - Affaire des Boeing 777 : les premiers déférés devant le PAC, 11 personnes recherchées - Hi hi
Présomption irrefragable alors ?????
bekily - Affaire des Boeing 777 : les premiers déférés devant le PAC, 11 personnes recherchées - Bekily
présomption d’ innocence oblige ...
Je dirais meme que c’ est son (…)
Jipo - Affaire des Boeing 777 : les premiers déférés devant le PAC, 11 personnes recherchées - Pour le plaisir !
https://odysee.com/@Roms17:d/Serge-Monast,-Le-Complot-Dévoilé
Jipo
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C’est prévisible, nous ne sommes pas dans le domaine du « envisageable » ou de « possibilité ».
La position de la République Française est clairement affichée, sans ambiguïté, sans fioritures, depuis la déclaration du président de la République française présent au mois d’avril à Madagascar.
Ce qui s’est passé dernièrement en France n’est même pas une réelle négociation, c’est juste une rencontre bilatérale destinée à préparer l’opinion publique Malagasy sur l’issue à sens unique du sujet, une affirmation indiscutable pour la partie française de sa pleine souveraineté sur ces îles.
Puisque le président de la République Malagasy est un citoyen français, la France veut aider le régime politique au pouvoir à Madagascar à l’orientation de l’opinion publique Malagasy vers l’acceptation d’une situation de « fait et contexte indéniable ».
La régime et la délégation Malagasy ne font que suivre et adopter l’orientation voulue par la partie française sur le sujet, l’essentiel pour eux, c’est de ménager aussi les sensibilités de la partie française.
En conclusion, la principale pierre d’achoppement dans la recherche d’une issue favorable pour la partie Malagasy est d’abord , « la citoyenneté française du président de la République de Madagascar ». Ensuite, la faiblesse de la diplomatie Malagasy et ses lacunes manifestes en matière de coopération stratégique en dehors du cercle d’influence française.
Quoi qu’il en soit, les dirigeants Malagasy ne font plus que gérer l’opinion publique Malagasy en espérant pouvoir plus tard créer d’autres axes pouvant susciter d’intérêts de coopération en dehors du cadre de la souveraineté nationale.
La question de la « haute trahison » vis à vis de la Nation Malagasy " commence à s’implanter progressivement dans la mémoire collective ici au pays...